Témoignages

Parmi les nombreux avantages de travailler au programme Cran, nos médecins et nos employés soulignent le travail gratifiant, l’horaire souple, l’excellence des traitements médicaux et le soutien d’équipes interdisciplinaires. Voici quelques témoignages éloquents :  

Les traitements sont extrêmement efficaces et la pratique, appuyée par des équipes interdisciplinaires, est confortable. En tant que médecin, j’ai l’impression d’être utile.
Dr David Barbeau, coordonnateur de l’équipe médicale, Services cliniques réguliers
Le programme Cran est fondé sur un modèle de soins interdisciplinaires qu’on ne voit pas ailleurs en dépendance. Chaque jour, avant l’ouverture de la clinique, les professionnels se rencontrent pour discuter des cas à traiter. Tout le monde est impliqué. Nous offrons aussi des stages aux médecins résidents qui veulent dispenser des traitements de la dépendance aux opioïdes.
— Dre Marie-Ève Goyer, coordonnatrice médicale, Services cliniques Relais Méthadone
Le programme Cran est un milieu de travail vif et dynamique. Les traitements évoluent et laissent la place aux idées nouvelles, à la créativité et à l’autonomie. Malgré leurs difficultés, nos clients sont des gens éveillés et pleins d’intérêt; ils ont seulement besoin d’être accueillis sans être jugés. Nous les aidons à se réorganiser et à s’ouvrir à de nouvelles perspectives. Quand une personne se maintient dans le programme à long terme, c’est déjà une réussite, mais quand elle se transforme, c’est spectaculaire. Pour un infirmier, c’est une expérience unique : la clientèle et le milieu nous amènent à évoluer professionnellement et personnellement.
— Frédéric Venne, infirmier
Qu’est-ce qui donne le goût de travailler au programme Cran? Le travail interdisciplinaire. C’est une des choses les plus riches qui soient. On aborde la personne dans sa globalité. On la prend où elle est et non pas où on voudrait qu’elle soit : pour créer un lien thérapeutique, iI faut être respectueux du patient. Notre travail est de guider la personne pour qu’elle développe ses propres compétences. Les rechutes qu’elle vit nous informent beaucoup et servent à réajuster le plan d’intervention. Il faut croire en la personne, qu’elle est capable de changer.
— Rose-Marie Leblanc, intervenante psychosociale